public marks

PUBLIC MARKS from srcmax with tags interview & webdocumentaire

2013

État des lieux du webdocumentaire - FRANCE 24

by 1 other
En une dizaine d’années, le webdocumentaire a acquis ses lettres de noblesse. Il a aujourd’hui ses prix, ses festivals internationaux, ses références incontournables et ses clubs d’aficionados. Mais au-delà du cercle des professionnels et autres initiés, où en est vraiment le webdoc ? A-t-il trouvé ses marques… et son public ?

2011

2010

Interview d’Alexis Sarini (webdocu.fr) | Pixfan

Alexis Sarini, de webdocu.fr, spécialiste de ce que l’on appellera ici « les nouvelles formes de reportage multimédia » nous accorde un peu de temps après la table ronde sur ce thème organisée par Nikon, lors du Prix Bayeux-Calvados des correspondants de guerre (prixbayeux.org).

Le webdocumentaire #1 « ZMÂLA

Entretien avec Alexandre Brachet, fondateur d’Upian (www.upian.com), maison de production plurimédia.

Propos recueillis par Éric Karsenty, Paris le 27 mai 2010.

Standing by Darrell

Alexandre,fondateur d’Upian qui a produit le web documentaire Prison Valley, évoque dans la première partie de l’interview le parcours qui a conduit de Presidentielles.net au webdocu. Il prévoit un futur rayonnant à ce format et nous parle de ses envies.

2009

WEB-DOCUMENTAIRE « Le blog du festival des 4 écrans

(via)

Pour la première fois, le Festival européen des 4 Écrans récompensera les trois meilleurs web-films de 2008 et 2009. Parmi ces douze œuvres conçues spécifiquement pour Internet, neuf web-documentaires. Un genre encore en phase d’expérimentation, donc difficile à définir.

Le web-documentaire explose sur la toile sur 20minutes.fr

(via)

Une évolution qu'Alexandre Brachet, d'Upian, a effectuée avec ses propres productions. «En 2002, avec “La Cité des mortes”, on essayait d'utiliser les contenus différents, vidéos, photos, cartographie. Puis dans “Thanatorama”, on a vraiment introduit l'interactivité, puisque l'internaute en est le héros… mort! Enfin, avec “Gaza/Sderot”, on a intégré graphisme et technologies à l'histoire, puisqu'il s'agissait de décrire les vies parallèles dans ces deux villes, avec par exemple une frontière entre deux écrans sur le site».

Upian développe actuellement «Canon City», un web-docu sur les prisons américaines «où, nouveau pas, on va insérer des contenus envoyés par les internautes, car je pense que le web-documentaire doit être une œuvre collective». Et, donc, en progrès.

SUNNY SIDE OF THE DOC L'époque est au webdoc - Charente-Maritime / Actualité / Grand La Rochelle - Jeudi 25 Juin 2009 - SUDOUEST.COM

(via)
Autre pionnière de la création de webdocs, la société Upian exploite à fond toutes les nouvelles possibilités qu'offre Internet. Déjà remarquée avec « La Cité des morts » en 2005, qui traitait des assassinats de femmes à Ciudad Juárez au Mexique, elle présente cette année à La Rochelle « Gaza/Sderot », le récit de la vie quotidienne dans ces deux villes, situées de part et d'autre de la frontière israélo-palestinienne.