March 2009
February 2009
ouest-france.fr - Un prix pour Gaza-Sderot
(via)Lendemains de guerre pour “Gaza Sderot” - Le fil télévision - Télérama.fr
January 2009
Gaza et les deux économies des images - Tout savoir sur les dernières actualités politiques, monde, société, sports, écologie avec le journal en ligne Libération
C’est un documentaire d’Arte, qui a tourné ces petites volleyeuses, et les autres. Il s’appelle «Gaza-Sderot, la vie malgré tout». Enfin, ce n’est pas exactement «un documentaire d’Arte». Il n’est visible que sur le site de la chaîne. Pour des raisons mystérieuses (mais certainement excellentes) la chaîne-mère n’a pas jugé bon de le diffuser. Mais le site d’Arte a construit pour ce documentaire mutant un support très ingénieux, et sur mesure, une sorte de CD-Rom en ligne. On clique, et on partage une tranche de vie, on passe d’un ado israélien à une boutonneuse palestinienne, d’une mère de famille de Gaza à une tatie de Sderot, d’un dîner ici à un goûter là, d’un caprice ici à un coup de spleen là. Pas de montage. Le visiteur fait son propre montage. Il se balade dans les rues, dans les cours d’immeubles, dans les cafés, d’un univers l’autre. Et ça fonctionne. Et on reste des heures. Et on ne peut plus les quitter. Et on a le cœur serré, davantage qu’après quinze journaux télévisés. Etranges chemins de l’émotion. Absurdité des représentations de l’info-télé, pour lesquelles l’Israélien de Sderot ne peut que courir sous les roquettes, tandis que les Palestiniens ne peuvent que porter un brancard, et se répandre en imprécations sonores. Oui, des êtres humains, niais, déprimés, décolletés, nous sont plus proches que les tragiques silhouettes quotidiennes. Ce qui relativise, soit dit en passant, la portée des éternelles controverses sur le contrôle des images.
Les Inrockuptibles - 20/01/09 : Quoi de neuf, doc ?
Avec le net, le documentaire explore d'autres voies et enrichit sa grammaire : adaptation de livre, témoignages, vidéoblogs ou conte interactif.
L'internet constitue le médium parfait pour raconter des histoires. Alexandre Brachet, producteur
Le quotidien à Gaza et Sdérot sur Arte.tv - France - la-Croix.com
(via)Gaza-Sderot: tranches de vie sur la toile
(via)Que sont devenus les personnages de “Gaza-Sderot” ? - Le fil télévision - Télérama.fr
Arte au cœur du conflit israélo-palestinien sur 20minutes.fr
(via)Eine Art Feuerpause
Gaza-Sderot : témoignages de part et d'autre de la frontière israélo-palestinienne
December 2008
Webdocumentaire sur Gaza et Sderot : pari tenu pour arte.fr
(via)Cartes interactives, navigation ludique : Upian, agence pionnière du webdocumentaire en France, a exploité les possibilités du web au services de l’info. «La forme nous a permis d’illustrer l’idée de frontière à l’origine du projet», explique Gregory Trowbridge, producteur exécutif. Le projet a été récompensé le 25 octobre dernier par le prix Europa dans la catégorie « média émergent ».
«Les chaînes commencent à considérer internet comme un espace de diffusion à part entière et non plus uniquement comme un espace dédié marketing», rappelle-t-on chez Ubian. Et le succès est au rendez-vous : environ 3000 visiteurs par jour dont 15% se sont connectés depuis le Moyen Orient. Un bon début et un véritable succès critique sur le net.
[Cahiers du cinéma]
La télé sur le Web
(via)Le web-documentaire, lien entre Gaza et Israël - Rendez-vous - Le Monde.fr
(via)November 2008
Direct Matin - Edition du jeudi 20 novembre 2008
Page 22
Un documentaire original dans sa forme et passionnant sur le fond.
Gaza/Sderot ; MTVmusic ; Tate Tracks - Nouvelles technos - Télérama.fr
(via)«Gaza/Sderot» en tranches Net - Tout savoir sur les dernières actualités politiques, monde, société, sports, écologie avec le journal en ligne Libération
by 1 other (via)Un webdocumentaire. Il y a suffisamment de reportages faussement multimédias et de vidéos mises en ligne sur le Web malgré un contenu indigent pour ne pas saluer cette première d’Arte.fr. Gaza/Sderot est une série d’un genre nouveau, mise en ligne quotidiennement sur le site de la chaîne franco-allemande
Car le projet, qui doit durer deux mois, a fini par produire un étrange objet protéiforme : mi-documentaire mi-feuilleton, mi-reportage mi-télé-réalité, mi-sérieux mi-divertissement. L’on finit par devenir accro à la série et à guetter chaque jour le mail qui annonce les deux nouvelles vignettes tournées, montées et mises en ligne par les équipes de Sderot et de Gaza.
Le seul reproche que l’on peut lui faire est d’ordre politique. Mettre Gaza et Sderot sur le même plan, c’est «oublier» qu’il y a un occupé et un occupant. Mais le sous-titre de l’émission, «la vie malgré tout», se donne un objectif moins ambitieux. Et il est bien tenu.