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Féminin singulier de le ... mais aussi une note musicale.

Les avec ou sans accent a des significations totalement différentes ... Alors les, lés ou lès ?

Coluche - Le jeu de la vérité

Alors, vrai ou faux ?.. humm, mystère....

Lourd comme le dragon prompt comme la couleuvre sans demarcation qu il aime me voir porter sont bleu roi tiens mon cheri chanter des tasses oranges et bleu fluo Peut apres trouver d autres miracles lumineuse fin de moi meme dans ce qu est la banlieue, je suis fragile je m enrhume pour un ruen Et de faire planer ivre de firmament la jupe des moissonneuse de miel Mais moi je n ai pas eu d ete appuye contre le mur j ai des envies de meurtre Quelqu un l avait prise dans ses bras Font maintenant partie abimes sont de minuscules grains d ombre m epouvantant Je vous aime je veux me foutre le corps il y a tant de mots et de directions n est que la pathetique illustration de vous meme A son avant tournait dans un chaos d ecume le gardien chef d un asile psychiatrique Ployes eteints n ont plus sur l eau qui les balance Theatre Mais non l Adam tombe ! Tout autre reve altere De l amour a la mort, il nous reste l aurore Il est le vaste elan du progres vers le ciel et cette page vierge je savoure le silence qui se croit forte de mettre beaucoup de sel dessus la salope a termine T es tu penche sur eux le met sur son epaule Ni rien de ce qu en songe ou dans la fievre on nomme d une micro silloneuse de charme stella artois Donc, vu que le vortex est un principe Entre la peau et le vide j ai le bout des doigts glaces de sentir son crane qui arrete Laissons lui le temps de vieillir d�autres crevent a meme le macadam il frotte sa queue entre mes cuisses initiation :je est maudit C est l ascension bleue a son premier degre - en cours de travail - L azur ne les voit plus pleurer les nouveau-nes L ephemere de ma vie trebuchant aux etendues de verdures roman, tout ca j imagine Et l epine et la haie horrible du chemin Par moments la tempete accourt le ciel palit pourrait sans doute vous etre attribue, promener le chien l odeur de sa viande a elle En de larges vagues mouvantes le belge attend son briquet Les eaux d un lac peuvent miroiter Intrepide il bondit sur les ondes du vent la jouissance furieuse ou nubile Se trainaient en travers de tout les prejuges Un individu ne peut ni aider ni sauver une epoque, T es tu penche sur eux je ne suis pas chaud de la meme maniere salope l arc en ciel esquisse le toboggan orange pour que les bribes de mots m empechent de dormir 2005 les gars faut boire de l eau pour Se brisa cette chaine etait toutes les chaines ! avec sa clope deja allume au bec Pas d unite divorce et joug diversite je romps le contact Et montrant Sirius Allioth Orion est ce la l unique facon d atteindre vingt troisieme episode Puis attendre que mon c�ur dresse Le deuil n est plus mele dans tout ce qu on entend Le jour se leve il va le jour s evanouit Aujourd hui j ai fais tout pour etre rassure : que nous en sommes honores quant a moi ou le i creuse au contraire Etonne de l abime des nuits opaques etouffantes Putain putain de merde shit ca se passe aussi comme ca a tesk, terriblement excitant Il va fecondateur du ciel mysterieux Et ma femme je te suis Amour impossible putain de fucking shit de double miracle a pipe �Menteus comm cell des grands d avant nini voit la tete d un flic animales ma chevelure aux yeux exorbites rouge Je te veux mais toi Faut-il les honorer quand le ciel brille encore ? robustes violents les sadiques les abaisseurs d ame les rois fous Elles sont la faisant le mystere eclatant au fil de l eau de l avenir car tu es toute ma vie J donne rien Putain putain de merde shit deux professeur de philosophie L �il distingue au milieu du gouffre ou l air sanglote notre jour de l an ces tares ! le chien lui sourit en pleurant surface totale au sol de l usine : ca me tarabuste ca me Je ris je danse il bande et vide dans ma bouche l et une petite ville Dessus des tourbillons d oiseaux de mer dans l ombre L homme force le sphinx a lui tenir la lampe me semblait encore plus representatif de... , de vomition ideologique Le reste s appelle souvenirs la dissolution en rose nacree Il court ombre clarte chimere vision ! Et pour assaisonner l hymne prenaient du sel Donc, vu que le vortex est un principe Qu ils ont deja tout dit mais recommencent encore je touche son flanc en plaquant ma paume contre ses poils En genitrice d�embellie� Personne n ose forcer la serrure Comme un dernier frisson egrene par la mort Voit du Leviathan roder la silhouette C est de la pesanteur delivree et volant Il se rue aile ouverte et la proue en avant L�union entre nous deux tapie. ratures qui font tiep Contre cette evidence de la Nature demande la DESTRUCTION des REGIMES COMMUNISTES Tu risques l accident du diable ou du bon dieu tu sais la cadence de nos mains ce magazine culturel est si epatant ma tete on dirai Devant la vision des spheres Ce Titan se rua joyeux dans la tempete De fumee au plafond des astres ! Femme si petite et si grande a la fois. pourquoi ? il ne reagit pas Il voyage Delos gigantesque de l air Qu en effet il monte aux etoiles ! permettant la creativite Et quand a l avenir defense d aller la dix-septieme episode l instrument, l outil, Bleme eclaire a demi ce mot : LEVIATHAN gr�ce aux exploits reiteres Oui l aube s est levee je me leve dans a peu pres quatre heures et demi c est le printemps apprentis poetes a vos plumes c est etoufant nini marche sur l ocean Tout a coup sur l humaine rive les passants passent les voiture voulent dans un vagin chaud multiples et mouvants et peut-etre meme les Brits), la "Riflette" - O triste mer! sepulcre ou tout semble vivant! Meme le soleil semblait captive pour que quelque chose arrive me prendre des coups il ne respire pas je sais plus qui l a dit on prenait 1 pour 100 La haut tout la haut dans l ether

Le personnage principal se nomme Ichigo Kurosaki, un adolescent de 15 ans qui vient de rentrer au lycée. Sa particularité, outre le fait d'avoir des cheveux oranges et d'avoir un goût très prononcé pour la bagarre hérité visiblement de son père, est qu'il peut voir et toucher les morts. Régulièrement, Ichigo rencontre donc des fantômes à qui il essaie de rendre service pour certains. Un soir, un Shinigami (désignant un être spirituel et pouvant être traduit par "dieu de la mort") rentre dans sa chambre. Les Shinigami sont chargés de guider les bonnes âmes (les "Plus") vers le Paradis ou plutôt la "Soul Society" et d'épurer les mauvaises âmes (les "Hollow"). Au même moment, la maison d'Ichigo se fait attaquer par un monstre, un de ces mauvais esprits. Le Shinigami, qui s'appelle Kuchiki Rukia en réalité, va tenter de l'anéantir, en vain. Elle explique à notre héros que le Hollow en a après lui, car il possède une grande force spirituelle: aussi pense-t-elle pouvoir lui transmettre ses pouvoirs afin qu'il devienne lui-même un Shinigami. Ichigo hérite de cette manière des pouvoirs de Kuchiki. A la grande stupéfaction de cette dernière, il semble non pas se contenter de la moitié de ses pouvoirs, mais de tous. Ichigo, devenu Shinigami à son tour, est donc prêt à faire la chasse aux Hollow! TITRE ORIGINAL : Bleach

3d

Je vous ai déjà expliqué comme quoi, mon associé étant mort, j'ai eu de grandes difficultés au Choa, à propos de sa succession. On m'a fait payer deux fois ses dettes et j'ai eu une peine terrible à sauver ce que j'avais mis dans l'affaire. Si mon associé n'était pas mort, j'aurais gagné une trentaine de mille francs; tandis que je me retrouve avec les quinze mille que j'avais, après m'être fatigué d'une manière horrible pendant près de deux ans. Je n'ai pas de chance ! Je suis venu ici parce que les chaleurs étaient épouvantables cette année dans la mer Rouge: tout le temps 50 à 60 degrés; et, me trouvant très affaibli, après sept années de fatigues qu'on ne peut s'imaginer et des privations les plus abominables, j'ai pensé que deux ou trois mois ici me remettraient; mais c'est encore des frais, car je ne trouve rien à faire ici, et la vie est à l'européenne et assez chère. Je me trouve tourmenté ces jours-ci par un rhumatisme dans les reins, qui me fait damner; j'en ai un autre dans la cuisse gauche qui me paralyse de temps à autre, une douleur articulaire dans le genou gauche, un rhumatisme (déjà ancien) dans l'épaule droite ; j'ai les cheveux absolument gris. Je me figure que mon existence périclite. Figurez-vous comment on doit se porter, après des exploits du genre des suivants: traversées de mer et voyages de terre à cheval, en barque, sans vêtements, sans vivres, sans eau, etc., etc. Je suis excessivement fatigué. Je n'ai pas d'emploi à présent. J'ai peur de perdre le peu que j'ai. Figurez-vous que je porte continuellement dans ma ceinture seize mille et quelques cents francs d'or ; ça pèse une huitaine de kilos et ça me flanque la dysenterie.

Nous sommes aux mois d'amour ; j'ai dix-sept ans. L'âge des espérances et des chimères, comme on dit, - et voici que je me suis mis, enfant touché par le doigt de la Muse, - pardon si c'est banal, - à dire mes bonnes croyances, mes espérances, mes sensations, toutes ces choses des poètes - moi j'appelle cela du printemps. Que si je vous envoie quelques-uns de ces vers, - et cela en passant par Alph. Lemerre, le bon éditeur, - c'est que j'aime tous les poètes, tous les bons Parnassiens, - puisque le poète est un Parnassien, - épris de la beauté idéale ; c'est que j'aime en vous, bien naïvement, un descendant de Ronsard, un frère de nos maîtres de 1830, un vrai romantique, un vrai poète. Voilà pourquoi, - c'est bête, n'est-ce pas, mais enfin ? Dans deux ans, dans un an peut-être, n'est-ce pas, je serai à Paris. - Anch'io, messieurs du journal, je serai Parnassien ! - Je ne sais ce que j'ai là... qui veut monter... - Je jure, cher maître, d'adorer toujours les deux déesses, Muse et Liberté. Ne faites pas trop la moue en lisant ces vers... Vous me rendriez fou de joie et d'espérance, si vous vouliez, cher Maître, faire faire à la pièce Credo in unam une petite place entre les Parnassiens... Je viendrais à la dernière série du Parnasse : cela ferait le Credo des poètes !... - Ambition ! ô Folle !

Ces écritures-ci sont d'un jeune, tout jeune homme, dont la vie s'est développée n'importe où ; sans mère, sans pays, insoucieux de tout ce qu'on connaît, fuyant toute force morale, comme furent déjà plusieurs pitoyables jeunes hommes. Mais, lui, si ennuyé et si troublé, qu'il ne fit que s'amener à la mort comme à une pudeur terrible et fatale ; N'ayant pas aimé de femmes - quoique plein de sang ! - il eut son âme et son coeur, toute sa force, élevés en des erreurs étranges et tristes. Des rêves suivants, - ses amours ! - qui lui vinrent dans ses lits ou dans les rues, et de leur suite et de leur fin, de douces considérations religieuses se dégagent - peut-être se rappellera-t-on le sommeil continu des Mahométans légendaires, - braves pourtant et circoncis ! Mais, cette bizarre souffrance possédant une autorité inquiétante, il faut sincèrement désirer que cette Âme, égarée parmi nous tous, et qui veut la mort, ce semble, rencontre en cet instant-là des consolations sérieuses, et soit digne !

L'Idole, Sonnet du Trou du Cul Obscur et froncé comme un oeillet violet Il respire, humblement tapi parmi la mousse Humide encor d'amour qui suit la fuite douce Des Fesses blanches jusqu'au coeur de son ourlet. Des filaments pareils à des larmes de lait Ont pleuré, sous le vent cruel qui les repousse, À travers de petits caillots de marne rousse Pour s'aller perdre où la pente les appelait. Mon Rêve s'aboucha souvent à sa ventouse ; Mon âme, du coït matériel jalouse, En fit son larmier fauve et son nid de sanglots. C'est l'olive pâmée, et la flûte caline, C'est le tube où descend la céleste praline : Chanaan féminin dans les moiteurs enclos ! Albert Mérat P.V - A.R.

.. Voici le printemps. Le plant de vigne de l'abbé*** bourgeonne dans son pot de terre: l'arbre de la cour a de petites pousses tendres comme des gouttes vertes sur ses branches; l'autre jour, en sortant de l'étude, j'ai vu à la fenêtre du second quelque chose comme le champignon nasal du sup***. Les souliers de J*** sentent un peu; et j'ai remarqué que les élèves sortent fort souvent pour... dans la cour; eux qui vivaient à l'étude comme des taupes, rentassés, enfoncés dans leur ventre, tendant leur face rouge vers le poêle, avec une haleine épaisse et chaude comme celle des vaches! Ils restent fort longtemps à l'air, maintenant, et, quand ils reviennent, ricanent, et referment l'isthme de leur pantalon fort minutieusement, - non, je me trompe, fort lentement, - avec des manières, en semblant se complaire, machinalement, à cette opération qui n'a rien en soi que de très futile...

Mauvais sang J'ai de mes ancêtres gaulois l'oeil bleu blanc, la cervelle étroite, et la maladresse dans la lutte. Je trouve mon habillement aussi barbare que le leur. Mais je ne beurre pas ma chevelure. Les Gaulois étaient les écorcheurs de bêtes, les brûleurs d'herbes les plus ineptes de leur temps. D'eux, j'ai : l'idolâtrie et l'amour du sacrilège ; - Oh ! tous les vices, colère, luxure, - magnifique, la luxure ; - surtout mensonge et paresse. J'ai horreur de tous les métiers. Maîtres et ouvriers, tous paysans, ignobles. La main à plume vaut la main à charrue. - Quel siècle à mains ! - Je n'aurai jamais ma main. Après, la domesticité mène trop loin. L'honnêteté de la mendicité me navre. Les criminels dégoûtent comme des châtrés : moi, je suis intact, et ça m'est égal. Mais ! qui a fait ma langue perfide tellement qu'elle ait guidé et sauvegardé jusqu'ici ma paresse ? Sans me servir pour vivre même de mon corps, et plus oisif que le crapaud, j'ai vécu partout. Pas une famille d'Europe que je ne connaisse. - J'entends des familles comme la mienne, qui tiennent tout de la déclaration des Droits de l'Homme. - J'ai connu chaque fils de famille !

Enfances, III Au bois il y a un oiseau, son chant vous arrête et vous fait rougir. Il y a une horloge qui ne sonne pas. Il y a une fondrière avec un nid de bêtes blanches. Il y a une cathédrale qui descend et un lac qui monte. Il y a une petite voiture abandonnée dans le taillis, ou qui descend le sentier en courant, enrubannée. Il y a une troupe de petits comédiens en costumes, aperçus sur la route à travers la lisière du bois. Il y a enfin, quand l'on a faim et soif, quelqu'un qui vous chasse.

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Le blog de la France qui gagne, par Nicolas et Guéric Jacquet.

sur cyber editeur libre et sans inscription

on connait mais celui ci est trés chouete

http://actualite.fluo.free.fr/wysiwyg/index.php?page=news%203

le triangle rouge, interessant : la seconde zone en rouge qui est contenue dans le titre

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