public marks

PUBLIC MARKS from decembre with tag Service:Pulic

28 June 2010

BIB - Tarifs des bibliothèques dans les Villes Moyennes (10-06-2010) - Bibliofrances.org

Issus du Cyberservice (réseau extranet d’échanges d’expériences, de connaissances et d’informations entre les villes moyennes et leurs EPCI, synthèses des tarifs que les villes moyennes établissent chaque année pour un service aux prestations identiques. Les tarifs des bibliothèques ont font l’objet d'une collecte de données, d'une étude et d'une présentation : Il s’agit du tarif annuel de l’abonnement au prêt de livres et de l’abonnement au prêt multimédia pour un adulte habitant la commune. Selon cette étude, pour 2010, l’abonnement annuel pour des prêts de livres varie de la gratuité à 22,50 euros avec une moyenne de l’ordre de 10,73 euros. L’abonnement annuel pour des prêts multimédia est, quant à lui, de 13,42 euros en moyenne, avec des tarifs oscillant de la gratuité à plus de 31 euros. Manque un pourcentage pour chaque tarifs....

24 June 2010

Pétition - Didier Porte , Stéphanre Guillon : Non à la suppression de la chronique humoristique de 7h55 ! - Mercredi 23 juin 2010

Mercredi 23 juin 2010 ...(veille Manifestation Contre Projet Réforme de la Retraite ...) : ... Lire l'article très bien documenté sur l'affaire dans "@rrêt Sur Images" : Humoristes : les pieds dans le débat: "Le jour où France Inter a viré ses bouffons en direct :Guillon et Porte licenciés, Bern "désavoué", Hees : "faut pas pousser"..." La fin du feuilleton a été brutale. Et expéditive. Après des mois d'affrontement et d'escarmouches plus ou moins vives avec Stéphane Guillon et Didier Porte, la direction de France Inter a fait le ménage en une demi-journée. En l'espace de cinq heures ce mercredi 23 juin, les auditeurs de France Inter ont appris qu'à la rentrée, ils ne retrouveraient plus Guillon et Porte à 7h55. Mais aussi que la case d'humour était supprimée de la matinale, et que Didier Porte était viré du Fou du roi, contre l'avis de son animateur et producteur Stéphane Bern."

31 May 2010

Modification du statut général de la FPT : C’est la disparition à terme du service public républicain neutre - SNITPECT (Syndicat National des Ingénieurs des Travaux Publics de l’Etat et des Collectivités Territoriales Force Ouvrière)

janvier 2009 : Une proposition de loi (Liberté de recrutement par les collectivités territoriales) a été déposée sur le bureau de l’Assemblée Nationale. Il modifie en profondeur le statut des agents de la fonction publique territoriale ! Déposé sans écho par les médias et sans information des organisations syndicales. Ce projet s’inscrit dans la réforme majeure, des prochains mois, des collectivités territoriales. Au motif d’une inégalité de traitement entre les agents recrutés par contrat dans la FPT et les agents sous statut, le projet de loi dispose que le recrutement des agents territoriaux est désormais celui du contrat.Ce texte prépare une véritable révolution car l’Etat va engager la réforme du statut de la fonction publique en commençant par celui des fonctionnaires territoriaux en prônant ensuite l’alignement. C’est la disparition à terme du service public républicain neutre, indépendant et garant de l’accès au service pour les citoyens.

Une nouvelle atteinte fondamentale à la Fonction publique, la loi du 3 août 2009 : Mobilité et parcours professionnels dans la fonction publique. - Droit cri-TIC

Une nouvelle atteinte fondamentale à la Fonction publique (octobre 2009, par Catherine Piquemal-Pastré) il s’agit d’une dérive qui va vers une banalisation de la Fonction publique, donc, à terme, vers une disparition du service public. En effet, la banalisation de la Fonction publique, à laquelle on assiste notamment avec cette loi du 3 août 2009, fait perdre aux agents leur spécificité qui est la garantie de l’existence du service public : « Sans Fonction publique, c’est-à-dire, sans des agents ayant un statut adapté pour fournir aux citoyens un ensemble de services nécessaires à la cohésion sociale, il n’est pas de service public possible » Une banalisation de la Fonction publique qui en menace l’existence même